opelka voice

Le Congo notre Mère Patrie ! Si la mère patrie pouvait parler, dire ce qu'elle en pense de ses "progénitures", de ce qu'ils font, de la marque du Vivre-ensemble qu'ils cultivent entre-eux, et donc, en elle et pour son bien, elle aurait naturellement bien des choses à dire. Il est certain qu'elle n'aura pas cette langue odieuse de dissocier, de séparer, de légitimer les uns et d'en blâmer les autres, de ses enfants divers et diversifiés.

C'est dire que, ceux qui pensent et le scandent, on a compris c'est plus par un manque cuisant d'arguments, que le seul lieu attitré, légitime pour palabrer sur l'être et le devenir du Congo, serait Brazzaville, ou encore, seuls ceux qui sont à Brazzaville ont cette légitimité de palabrer sur le devenir du Congo, il conviendra à tous que cette approche est manifestement absurde. Le seul et l'unique fait qui octroi à quiconque le droit de discuter sur l'avenir du Congo, est: Être congolais et Aimer le Congo, de quelques attaches que ce soient. Et donc le lieu de résidence s'éteint, peu importe là où on se retrouve, on a tous ce droit naturel de discourir sur le Congo de quelque manière que ce soit, aux fins que le Congo aille de l'avant.

Il est donc incompréhensible voire stupide, quand un frère tient un discours opposé à soi ou encore au pouvoir, de le précipiter, de lui demander d'aller à Brazza pour y mener le combat politique. Connaissons la psychologie des uns et des autres, si il y  avait un réel trésor qui lui serait donné, il n'aurait pas cette facilité de l'envoyer là. Il faut que les gens comprennent que TOUT MILITANT n'a jamais voulu faire de la politique un métier, cependant le Militant qui veut prendre le pouvoir pour, comme ils disent changer les choses, oui, celui-là devrait résider à Brazza car le pouvoir y est, car le peuple légitimant, lui qui le donne, y est. On peut être militant, s'indigner de ce qui se fait dans tel ou tel pays sans forcement y habiter, car une question se pose: Où devrait habiter "Fulbert" si il est contre la Mondialisation, contre l'Impérialisme de la Françafrique, contre les Dictatures, contre le Racisme, si il est pour les idées Féministes, pour l'Ecologie...? 

Le MILITANTISME est un engagement personnel et chacun est libre de le mener comme il l'entend. Si le sujet exposé a de l'intérêt , alors on peut apostropher par des arguments raisonnables pour taire les propos impertinents, sinon c'est la place à la calomnie. Il faut encourager le Militantisme afin que le peuple retrouve son pouvoir légitimant, car "Tout Pouvoir n'existe que parce que nous y consentons", et si le Peuple peut reconquérir, peut reprendre, peut avoir conscience de sa part de pouvoir qui est dans le pouvoir étatique, cela sera une chose très déterminante pour l'avenir des pays, et par là, il imposera sa volonté juste contraire à celle des certains irréalistes hommes politiques.

FKM

Nous avons tous en mémoires les étranges, les incroyables manifestaions, revolutions qui se sont produites dans le monde arabe, plus exactement en Tunisie et en Egypte pour lesquelles la ministre des affaires étrangères Françaises a payé cash de son poste, aprés que toute la classe politique française fut "étonnée" de la proximité de la France(sa politique exterieure) à certains régimes dictatoriaux, en occurance celui de Ben Ali et de Moubarak; c'est comme par enchantement, qu'ils nous font comprendre, ce n'est qu'après un "voyage de détente" de la ministre que la France decouvre qu'en Tunisie règne un pouvoir obscur. Cette réaction de l'ensemble de la classe politique, gauche et droite dans le même sac, cela fait montre, comme toujours, de la démagogie bien huilée des politiques, car tout le monde savait les profondeurs de la politique de Moubarak, tout le monde savait son rôle stratégique dans cette zone sensible, semble t-il c'est pour contenir la montée d'une certaine idéologie réligieuse susceptible de mettre à mal le pays "juif"; même Barak Obama, y avait fait un joli discours tonitruant qui commençait par un "salah malhé koum.." il est difficile de nous faire croire que même lui méconnaissait le régime de Moubarak. De ce fait, Sans se préoccuper de la politique de Moubarak, on ne se préoccupe donc pas du peuple Egyptien; mais, plus ce rôle stratégique de Moubarak garantissant une certaine "quiétude" à israël accompli, plus les choses étaient cohérentes pour la sphére politique, tout ce monde savait que le pouvoir de Moubarak n'était pas démocratique comme il devrait l'être et tant qu'il jouait son rôle stratégique, les grands de ce monde fermaient les yeux sur le reste ou sur tout.

A  cela, ce n'est pas seulement à une seule personne de paie cash, mais bon, il fallait donner un signe; il est clair que le problème ce n'est pas MAM, cette femme dynamique, pragmatique voire prespicace, d'un caractère bien trempé, l'aura qui lui a permi d'occuper tous les ministères dits régaliens, l'inviction de MAM n'est guère la solution, et ne sera la solution si la politique n'est reformée, le problème c'est l'orientation de la politique diplomatique de la France. La Tunisie, l'Egypte ne sont pas les seuls pays ayant une proximité étroite avec la France mais qui sont dirigés par un pouvoir non-démocratique, on invitera donc la classe politique française de regarder les pouvoirs, les gouvernances dans les anciennes colonies françaises d'Afrique en occurence au cameroun, Congo, Gabon, Centrafrique, Sénégal,Togo....

Comme le disait Mr Koffi N.  "Quels sont ces intêréts de la France qu'un démocrate, qu'un régime démocratique ne peut-il pas garantir?" Cette mauvaise orientation politique extérieure de la France remonte depuis le général De Gaulle, avec son code Orange et malheureusement jusqu'à notre dynamique Sarko.

Est-ce la Diaspora est-elle une force sur qui compter, une vraie force d'où peut partir un nouvel élan, un vrai élan de ce changement tant espéré en Afrique? A fortiori, elle ne restera quand bien même pas cette caverne de valets d'échange quand la "métropole" décide de changer celui qui ne fait plus sa volonté, on peut le dire car on connaît le financier de la compagne de Lissouba et celui qui décida le retour de Sassou.

Dans une dialectique simple, une force se nuance d'avec la violence, la force dans toutes ses forces et aspects, de la force physique, à la force de persuasion ou de pédagogie, elle est une énergie, conviction très organisée, canalisée qui sait là où elle veut aller, elle sait là où elle veut agir par contre la violence, bien qu'étant aussi sous une forme d'énergie, elle n'a que des fins destructives, avec ses pulsions sauvages, les invectives et les anathèmes, cette violence verbale dessert totalement une cause.

Cependant, il est certain que la Diaspora est une force mais une force disparate, certains diront une force pas encore accomplie, au regard de la façon dont elle mène le débat sur les choses de l'Etat, sur le pouvoir en Afrique en général et au Congo en particulier. Ce débat semble être aléatoire sans émergence des grandes et nouvelles idées, les orateurs sont plus dans des solutions d'ajustement diront certains et dans des solutions colossales et précipitées diront d'autres, comme ce débat sur la monnaie (Fcfa), dont il faut en sortir, pensent certains; quel chantier gigantesque, et pour la substituer à quelle nouvelle monnaie et avec quels dégâts ou avantages? C'est clair qu'il est plus aisé de dire des choses que de les faire, surtout sans en circonscrire l'étendu;  c'est malheureusement avec de telles homélies que la Diaspora tient nous enseigner.

Mais avant que le moment de tels chantiers se fasse sentir, on aimerait savoir, COMMENT GOUVERNERAIT LA DIASPORA SI ELLE AVAIT LE POUVOIR? Là aussi pas de clarté; que pense t-elle de la démocratie, la façon dont elle s'applique en occident, dans une clarté indubitable, que répond la Diaspora quand Paris pense que la démocratie serait un LUXE pour l'Afrique. Est-ce cette démocratie est-elle compatible avec l'Afrique, il suffit juste de faire le copier-coller, comme le pensent certains, "pourquoi on ne ferait pas un copier-coller", et le tour sera joué; ou il faut pour l'Afrique des aménagements d'adaptabilités pour asseoir cette paix tant recherchée?

Et dans cette cacophonie du mandat, 5 ou 7 ans, renouvelable ou pas? Est-ce le peuple ne devrait-il pas avoir un temps plus pratique de récuser ou de réélire un président, quand il gouverne mal ou quand il gouverne dans la justice, ce faisant un mandat de 5 ou 4 ans ne serait-il pas raisonnable? Il y a une vision qui semble émerger et qui demande réflexion, c'est celle d'un mandat non renouvelable et tournant dans l'ordre des régions, cela donnerait l'opportunité à des régions minoritaires d'être hisser à la magistrature suprême car comme on le sait, c'est à la base du caractère TEF(Tribu Ethnie Famille) que les votes se passent, attitude discutable mais c'est ainsi que le congolais vote; il est ainsi difficile de comprendre comment un président d'Ethnie minoritaire qui a raté les élections en 1992 peut les gagner en 2010 à plus de 70%. Le renouvellement pousse à la tricherie et elle pousse au chaos, et donc le non-renouvellement du mandat n'épargnera t-il pas le pays de ce chaos? 

Avec quel système économique la Diaspora gouvernera t-elle, ou encore, quel est le système économique compatible avec le Congo, le capitalisme qui est hanté par le profit, délaissant le travailleur, lui qui fait ces dividendes qu'ils se partagent; le libéralisme qui privatise à tout va ou le socialisme qui garanti une répartition des deniers publics? Il conviendra à tous que le pouvoir actuel de Brazza ne fait pas du socialisme bien qu'il en découle.

Est-ce la force des mots ne suffit-elle pas pour infléchir la furie humaine, pour s'épargner le fatalisme des hommes? C'est cela bien des gens espérèrent pour la résolution de la crise Libyenne, hélas; cela dit, il n'y a que deux alternatives pour se défaire d'un pouvoir nihiliste, totalitaire, c'est par la "démocratie" en faisant de la pédagogie démocratique, en revendiquant tous les atouts d'une vraie démocratie et en faisant usages de tous les moyens nationaux et internationaux pour y parvenir; la 2e solution, eh ben, c'est le coup de force ou de violence, une solution fataliste, destructive, bon nombre de gens pensent qu'elle n'est pas propice au regard des dégâts matériels surtout humains qu'elle oblige, et comme le méconnaît très souvent les gens, c'est une coûteuse solution car les armées occidentales ne vous délogent pas un dictateur gratuitement. Pour le cas Congo, il est donc raisonnable de privilégier la pédagogie démocratique, une organisation intelligente de la Diaspora au sein d'un groupe, au sein d'un club de réflexion qui pourrait s'afficher comme un "interlocuteur" digne capable d'engager des discussions de façon responsable avec "AUTRUI" pour voir les modalités d'installer cet élan du changement, du changement démocratique. Est-ce que ce n'est pas une telle organisation qu'AUTRUI attend pour nous entretenir car semble t-il que la souveraineté est devenue la limite indépassable dans le droit international, même pour des évènements en Libye ou en Côte d'Ivoire il y eut un travail très assidu qui se fit en amont. 

Si ça peut se définir, que serait le SOUVERAIN BIEN du Congo, l'Unité, le Travail ou le Progrès? Actuellement cela ne peut être le cas, quoi donc, la Paix, le Partage, la Démocratie, non plus, quoi la Liberté, le respect des Droits de l'homme, la Fraternité, l'Egalité, la Justice de l'Etat, le Peuple, la Souveraineté...nul ne sait. Un peuple ne devrait-il pas d'abord définir, trouver des piliers qui soutiendront son édifice? Est-ce ce n'est que par un parti politique qu'on peut être utile à la nation, et le Social, et l'Entraide; en Europe où vous êtes, tous ceux qui parlent et agissent ne sont pas seulement des politiques, et donc pourquoi cette facilité de création des mouvements politiques, combien de partis politiques existent-ils au sein de la Diaspora Congolaise, et pour quelle population? N'est-ce pas la cause de son inefficacité?

La grande reforme des pays africains en général et du Congo en particulier serait d'étendre l'assemblée nationale jusqu'à Paris c'est-à-dire la Diaspora devrait être représentée au sein de l'assemblée nationale, et donc Paris devrait avoir deux circonscriptions pour les législatives afin d'associer les ressortissants congolais résidant à Paris à la gestion du Pays car cette Diaspora ayant une autre vision des choses, leur vision peut être une chance, sera une réelle chance de la vision nationale dans le choix des stratégies d'industralisation, de développement mais surtout sur les stratégies politiques qui assignerait au pays une stabilité dont on sait qu'elle est un maillon déterminant de l'émergence.

Bonne compréhension.

OPELKA

Près de deux cent personnes ont péri dans l'explosion de la réserve d'armement de Mpila dans la localité de Ouenzé. Une fois de plus le Congo a connu une perte considérable de ses filles et fils, plongeant ainsi le pays dans une angoisse terrible et naturellement dans un deuil.

A cet effet, le chef de l'Etat avait manifesté sa volonté de faire toute la lumière sur cet "Accident" disant cette affaire car au jour d'aujourd'hui la cause d'un accident semble perdre sa teneur, dans cet élan une enquête était diligentée par le gouvernement avec l'aide de certains experts venus de par le monde; à ce jour les conclusions préliminaires  semblent avoir, disant ont étonnement des approches, sur la cause, très éloignées à celles qu'évoquait le même gouvernement dans les premières heures de ce sinistre, par les voix du ministre de la Défense et son homologue de l'Interieur, venus illico-presto à la télévision nationale pour rassurer les concitoyens.

Cela dit, 28% des études menées montrent que la cause serait d'origine humaine, cela revient à dire qu'il y a eu une réelle volonté de l'homme de nuire; et je pense, comme le tient mordicus le président Sassou, que les personnes responsables de ce drame seront face à leurs responsabilités; cependant, il est à noter l'amateurisme des deux membres du gouvernement qui nous racontaient des choses sans convictions, comme quoi, que la situation était sous contrôle, au moment où les détonations continuaient encore, mais ce qui est plus tragique et fou, c'est quand le ministre de la défense rassure les concitoyens en disant qu'il n'y a pas de morts à déplorer mais juste quelques blésés graves; le premier ennemi du mensonge ou de la stupidité c'est le temps, et là on est à près de deux cent morts. Dans la même logique, à côté de rassurer les concitoyens, les ministres tentaient aussi à démentir une rumeur qui circulait déjà, celui d'un soi-disant "Coup-d'Etat", comment se fait-il que d'un "accident" que l'on puisse avoir l'idée d'un coup de force, pourquoi pas à autre chose mais qu'à ça? On peut d'ores et déjà faire le rapprochement avec les 28%.

Les mêmes études donnent 6% seulement à une cause d'origine accidentelle, donc de ce fameux "court-circuit électrique" qui était la première et la seule cause plaidée par le gouvernement. Sans vouloir s'éterniser là-dessus, nous osons croire que le peuple aura toute la vérité de ce drame.

Mais, il y a bien d'autre questions qui chiffonnent les congolais, nous espérons que ce comité chargé de cette enquête nous fera la liste du type et du nombre d'armement qu'il y avait sur ce site car là aussi il y a amalgame, certains nous parlent qu'il y avait jusqu'à des "mines anti-personnelles" armement qui n'est pas dans les moeurs des FAC, et la question est de savoir pourquoi vouloir s'approvisionner en des telles armes, et d'autres projectiles surdimensionnées justifiant ce décor apocalyptique qui s'en est résulté.

Franchement, de par le train de vie difficile que les congolais ont, est-il juste et louable de dépenser des fonds considérables pour s'armer sans manifestement avoir un ennemi défini ou potentiel, de ce que l'on sait, Ntumi, le seul ennemi potentiel, avait été remis au silence, pourquoi donc cette obsession à la démesure inique? Avec ces fonds il aurait fallu soutenir l'Ecole et les bourses des Étudiants, ça aurait servi à quelque chose de bien.

Décidément le mois de Mars est si noir pour le Pays, c'est au même mois que le Pays avait perdu Marien Ngouabi, le Cardinal Biayenda, Massamba Débat, c'est aussi au mois de Mars qu'un avion s'était craché à Pointe-noire, et là aussi c'est en mois de Mars que le sang a coulé une fois de plus, et du mot funèbre bien structuré de monsieur Florent TSIBA, au lieu de questionner l'année 2012, il aurait fallu questionner le mois de Mars et se poser la question si il n'y a t-il pas un mauvais karma?

OUI, il est en effet le seul congolais, le seul du Nord, si je peux me permettre, qui fait l'unanimité face à cette pléiade de faux mecs qui se pavanent ici et là pour nous faire entendre une conception de choses et de ce pays totalement sarcastique et stupide.

Il est celui qui fait l'unanimité tout simplement de par sa lucidité et de la relation très étroite qu'il entretient avec ses mélomanes, mais aussi de par sa popularité se justifiant par ce fait énigmatique, que les congolais ne se sont jamais passé de sa musique lors de leurs évènements divers et variés; cette attitude n'est pas due, si je peux me permettre, par un nationalisme basique, qu'il faut soutenir un frère congolais, mais cela est dû plutôt parce que l'on aime la qualité de sa musique.

 D'emblée, on ne sait pas d'où émane le génie des musiciens qui nous transporte, mais ce qui est indubitable, est que sa saga de ''Racine''  justifie une chose certaine, qui est que son génie naît d'un raisonnement, ou simplement a un socle de raisonnement irréfutable; ce qui le différencie des autres qui sont trop souvent accès sur des sujets de légèreté. Sans donc exagérer, on peut dire qu'il est l'As de la musique de Brazza, qui rivalise dignement avec la machine Kinoise

 Jeter des anathèmes sur ROGA ROGA pour sa soi-disant apologie des autorités de Brazza est totalement déplacé. Il est absurde de confier à un musicien, qui de nature est apolitique, le travail des politiques, celui surtout de combattre et de changer celles qui règnent à Brazza. Jusqu'à preuve de contraire les autorités actuelles resteront nos officiels, que l'on aime ou aime pas, et moi je n'aime pas, le pct et ses orientations politico-économiques je n'aime pas et c'est aucunement la faute aux musiciens. Et pour les <> de Paris qui apportent leurs critiques sur "Racine IV", c'est l'idiotie des insultes que l'on récuse, le musicien rend simplement hommage aux "pieux et piètres" hommes qui ont marqué l'histoire, ce n'est guère à lui de faire le bilan de ceux-ci et de ceux qui gouvernent nos pays Africains.

Et quand on entend qu'il y a sur Paris et Bruxelles un comité de la Diaspora qui a boycotté les concerts des musiciens Kinois, comme quoi, ils flirtaient avec les autorités kinoises, qui en effet ne s'occupent pas de la population civile et gardent les deniers publics pour leurs petites personnes, c'est incongru de faire payer les musiciens; même Luambo Makiadi qui avait une langue très tendue et semble t-il, qui était de la même obédience avec Mobutu n'avait pas pu lui changer de conception. Cette Diaspora bien pensante devrait pousser la réflexion un peu plus loin car quand Johnny Hallyday épaule Sarkozy ou quand Yannick Noah se déchaîne sur la scène du stade de Charlety pour son soutien à Ségolène Royal, on ne les jette pas aux bûchers pour autant et alors pourquoi vouloir lapider ROGA ROGA.

 En sommes, facilement et même de façon argumentée, on taxerait nos dirigeants de malversation financière, et ça c'est le taff des politiques et non des apolitiques comme les Artistes, les politiques de l'opposition forcement devraient faire leur boulot et si ils n'en sont pas capable, eux au moins peuvent facilement songer à démissionner vu qu'ils n'ont pas la source nourricière qui est le trésor public; mais taxer Roga Roga de collabo ou d'inculte, ou encore déverser toute son indignation sur lui c'est totalement LAMENTABLE.

                                                Marine Le Pen, c'est sûr qu'elle aura ma voix

Ce n'est ni par idéologie, ni par conviction politique, ni surtout pas par la pléiade des propositions autant qu'iniques que justes, autant que farfelues, rétrogrades que réfléchies pour la France, ce n'est pas pour tout cela que je voterai pour elle.

Loin de moi l'intention de crucifier, de sacrifier la France, comme l'affirment avec acuité ses adversaires, qu'une fois Marine au pouvoir, les conséquences que la France affrontera, seront d'ordre d'une guerre, d'ordre d'un jour d'apocalypse semble t-il; mais si c'est la seule issue pour avoir la liberté, pour avoir une vraie indépendance, pourquoi pas.

C'est dommage que le peuple Français rempli de tant de « bon sens, des valeurs » n'arrive pas à appréhender les enjeux, qu'il reste sourd aux cris de torture, les cris des précipices d'Afrique qui, et pourtant, arrivent à leur écoute.

Si on a pas pu arrêter de l'extérieur, de par la raison, de par la pédagogie, de par les dénonciations d'un système laxiste, ce système fou, impérialiste, entretenu par notre valeureuse France; si on a pas pu arrêter les affres de la Françafrique qui ruinent, qui exploitent, qui asservissent les peuples d 'Afrique, il serait temps et pratique d'agir autrement, il sied d'essayer d'agir de l'intérieur.

Elle est de Droite et républicaine quoi qu'en disent ses détracteurs, elle semble être celle qui de façon indirecte, celle qui, pour le cas AFRIQUE dit les choses de façon claire sans ambiguïté, sans cette éternelle démagogie que le RPR-UMP et PS nous ont habitué depuis des lustres. Elle est hostile presque à toute forme d'immigration, n'a jamais fait l'objet d'un double discours, elle dit et défend depuis les mêmes convictions, contrairement aux autres, d'un côté stigmatisant les Africains et de l'autre, sans gène, recevant les valises d'argent, participant et entretenant cette politique drastique cruelle qui ruine et tue le continent noir.

C'est d'avec ces méthodes que la Droite de DE Gaule, avec son code Orange, un code qui consistait à donner l 'aval de manière officieuse à une Unité militaire spéciale, de mener une opération de déstabilisation en Afrique et ailleurs, quand ladite opération réussie, la mission est reconnue et quand elle échoue elle est ignorée, qui au passage fait de tonnes de morts, c'est ça le code Orange; et notre '' congénère '' Chirac dit '' l'Africain '' semble t-il, qu'il aimait très fort ce continent noir, il disait aussi à celui qui voulait l'entendre : Qu'une grande partie de l'argent qui est dans notre porte-monnaie, vient de l'exploitation de l'Afrique.., il est clair qu'il n'aimait pas les hommes de cette Afrique mais il aimait plus les dividendes considérables de la politique de spoliation qu'ils ont mené avec la bénédiction des piliers comme le président Bongo; idem avec l'avenue de notre Mitterrand national, le PS semble t-il qui incarne la noble mission de l'avocat des pauvres, des sans voix, avait aussi lamentablement échoué sur ce sujet, continuant avec vergogne la perfide politique néocolonialiste qui n'instaure que des sombres jours.

Que faire?  Il sied de changer et Le changement c'est maintenant!!!

Que dit Marine, elle dit ce-ci

Discours clair, bien que ses prédécesseurs ont eu le même, mais eux ont échoué à la pratique, c'est pour cela que je la pousserai vers la magistrature suprême, je la pousserai vers l'application pour voir si et seulement si on ne peut pas avoir une France qui tiendrait ses propos, une France qui aidera ses anciennes colonies d'implanter une vraie démocratie et non celle des coups de force; car cela, de façon ipso-facto libérerai les Africains de cette ignoble politique qu'ils subissent de plein fouet et on verrait Marine Le Pen garder son pain pour elle toute seule.

                                                           Bon vent à Marine

                          Vive la France, vive l'Afrique et vivent la Liberté et la Démocratie.

Par ce mot, recevez mes voeux les meilleurs pour cette nouvelle Année 2012.

Laisse qu'au-delà de tout qu'elle soit d'abord une Année de bonne Santé et qu'elle vous apporte, qu'elle nous apporte la réussite, le triomphe dans toutes nos entreprises.

Bonne et Heureuse Année 2012 chers internautes

                                              OPELKA

Ainsi, l'attaque menée par la France sous le mandat de l'ONU est arrivée à bout de ce "Guide" sulfureux, riche, direct, n'ayant pas sa langue dans la poche et imprévisible, au regard de son récent discours à l'ONU.

Après la vague des révolutions dans le monde arabe qui a connu sa genèse en Tunisie où un jeune vendeur des légumes s'était immolé pour contester  à la tyrannie du pouvoir de Ben Ali, président, comme tous les autres dictateurs qui se remplissent les poches au détriment de leurs peuples, la France bien critiquée, de son laxisme, qu'elle faisait montre face à ces dictateurs qu'elle continuait toujours à chérir, elle prit la résolution de revoir sa copie en matière de politique extérieure, ainsi, elle jugea bon qu'il fallait, ou encore que le temps était arrivé pour se défaire de tous ces dictateurs qui opprimaient leurs peuples afin de donner tous les droits, toute la liberté à ces hommes et femmes de ces pays là, de vivre une vraie démocratie et tous les droits et devoirs qui vont avec.

L'ONU accorda ainsi à la France un mandat de se défaire de Kadhafi, tyran qui opprimait son peuple, de par des répressions sanglantes, peuple qui ne voulait qu'aspirer à la liberté, à la démocratie, sortir de l'oppréssion de près de 40 ans. Par les frappes ciblées, la France a aidé la rébellion menée par le CNT pour sortir la LIbye de cette impasse.

Cependant, les avis sont partagés en ce rôle que la France a joué.

Tout simplement qu'elle est ou était le pays mal placé pour le jouer, la Libye n'étant pas colonisé par la France, la France aurait commencé devant chez elle à faire le ménage, dans ses anciennes colonies gangrenées aussi par des dictateurs, avant d'aller nettoyer chez les voisins, en sus on ne peut prétendre être pour les peuples opprimés au moment où la classe politique Française faciliterait "une malversation des fonds de ces pays Africains" par des valises d'argent qu'on entend ici et là, et bien d'autres sujets sulfureux de la Francafrique... Enfin, on ne peut se permettre de dire, de qualifier Kadhafi de "sanguinaire" d'un côté et de l'autre lui vendre des armes, ce sont deux attitudes qui sont manifestement incompatibles.

Et avec cette crise mondiale, avec les difficultés de la zone Euro, d'autres pensent que, cette affaire montre très nettement les velléités et l'égocentrisme de l'occident, donneur de leçons, et avec son impérialisme comme fers de lance, d'autres encore pensent que Kadhafi a payé les conséquences de son discours crash qu'il a tenu à l'ONU, dans lequel il a dit des vérités qui n'ont pas plues aux occidentaux, par exemple: il revendiquait une place pour l'Afrique au sein du conseil de sécurité, seul continent qui n'y est représenté, il demandait que l'occident devrait payer des indemnités de près de 700 milliards d'euros pour les préjudices causés lors de la colonisation, et enfin il déchire et balance la charte de l'ONU et se posait la question de savoir qu'est ce qui avait élu les 5 membres permanents de ce conseil de sécurité(USA, France, Russie, Grande Brétagne, Chine).

On ne peut pas recevoir un "ami" avec tous les honneurs, tapis rouge et fanfare et le lendemain au grand matin aller lui faire la guerre, on ose croire qu'un tel revirement est légitimé par des principes de fonds, car si ce n'est que cette volonté de se défaire des dictateurs et de les substituer à une vraie démocratie, eh ben la France, grande démocratie, terre des valeurs et des droits des hommes, a encore du travail à accomplir dans cette chasse aux dictateurs, en occurrence au Congo où l'on sait comment Sassou est revenu aux affaires, au Gabon, au Tchad, Côte d'Ivoire...

Des images dramatiques des années 80 de la corne de l'Afrique reviennent au galop; et une fois de plus, elles sont tristes et choquantes à la fois.

Un enfant sur dix, âge de moins de cinq ans meurt toutes les six semaines a cause de la famine, une  famine qui progresse à une grande vitesse V, donc plus de 10% d'enfants meurent tous les deux mois, un vrai drame qui échappe ainsi au contrôle des autorités locales et Africaines. L'ONU a réclamé une aide de près de un milliard de dollars pour faire face à cette catastrophe humanitaire que l'Afrique n'ait jamais eu.

Face à cette situation indescriptible, tant de questions se posent, bien que ce-ci est en effet la cause directe de la sécheresse qui sévit dans cette zone de l'Afrique; qui en effet n'est pas pour la première fois que cette zone est touchée par ce climat difficile; il serait lucide de savoir si la Somalie s'était donnée les moyens pour se prévenir de cet état de climat difficile. Dans les années 80 ces mêmes images d'aujourd'hui avaient en effet émues le monde entiers, ayant même mobilisés les artistes; cependant on aimerait bien savoir ce que la Somalie, l'Union Africaine ont-elles préconiser pour éviter la récidive de ces images choques, et cette conglomérat des politiques qui gouverne ce continent, quels projets, quelles perspectives ont-ils mis sur pied pour nous éviter ces drames, comment peut-on qualifier cette Organisation, qui au delà de tout, de ses manquements, de sa traitrise, de son non-objectivité, repondant toujours aux sirènes de l'occident, est aussi importante, pour essayer de converger les forces Africaines aux fins de se donner les moyens pour nous éviter, de telles crises.

Dans les temps anciens, les peuples s'entr'aidaient réciproquement par des activités comme des "tontines", quand un peuple, une famille était en détresse, on cotisait une certaine somme unique pour les autres membres de la confrérie, qui fera une si grosse somme qu'on allouera à la situation qui touche un membre, l'Union Africaine pourrait aussi demander une réelle participation des pays membres, de leur budget ou de leur poches propres, vu les milliardaires qui poussent comme des champignons dans ces pays où les malversations ne gène personne, surtout pas ces gouvernements, mais pas aussi cette Organisation qui se devrait être moralisatrice. Ainsi sa position est confuse pour certains quand cette Organisation soutient le Guide libyen, lui qui financier grandement cette Organisation, quand ce même Kadhafi est décrié par les autres.

Il serait temps que l'Union Africaine change du fond en comble ses prérogatives car elle devrait aussi contribuer au développement pratique de l'Afrique et de l'installation d'une vraie démocratie gage d'une vraie quiétude fondation du développement Africain avant de penser à l'Africanisation. 

Depuis la rupture de l'élan démocratique par le retour dramatique de Sassou aux affaires, un retour décidé sous d'autres cieux, le Congo traverse continuellement des moments bien difficiles .

Le gouvernement congolais, comme le témoigne les citoyens semble, ou encore est toujours très loin de la réalité des choses, il est toujours déconnecté de la réelle vie des ses concitoyens. A l'orée du 15 Août, date de l'anniversaire de l'indépendance, devant les assemblées (Parlement et Sénat) réunies en Congrès, le Président a présenté le bilan de sa politique générale menée de l'année 2010, en plébiscitant sa fameuse municipalisation accélérée et l'industrialisation du pays, choses qui restent à vérifier, l'Eau et l'Electricité que la population attends toujours; ce bilan ne trouve donc pas le même succès décrit par le chef d'Etat, qu'auprès des citoyens qui déplorent toujours, les mauvaises conditions de vie, la Santé, l'Education, les mêmes mauvaises manies, de laxisme et malversations des fonds, de ce parti le PCT.

Ainsi, le président annonce que son économie a fait, ou a connu une croissance de 10%, un chiffre hallucinant, mais dont certains irréalistes et irréductibles partisans défendent avec dextérité et démagogie en refusant de voir la vérité en face. Comment peut-on dire et défendre avoir fait une croissance de 10% et à contrario avoir un taux cuisant de chômage, voir la famine sévir atrocement, voir la chute manifeste de la capacité d'acheter, disant le pouvoir d'achat des citoyens; avec une croissance comme celle-là, on devrait vaguer dans un climat social de plein-emploi; et en plus, vu que l'économie congolaise n'étant basée que sur les exportations du Bois et du Pétrole, qui constituent plus de 80% de recettes, l'ambiguité est que le montant total des recettes n'est pas donné, ce n'est pas en faisant la rétention des chiffres importants, qu'on aura une saine économie, comme le veut Sassou. Et comment se fait-il, pour des autorités voulant la vérité démocratique, pourquoi le chiffre de la masse d'Argent des recettes ( Pétrole, Bois et Taxes) ne peut-il pas être donné librement? Je pense que c'est là où devrait commencer la fameuse démocratie que même les dictateurs revendiquent.

Ce n'est pas par hasard que c'es chiffres fatidiques sont cachés, c'est tout simplement de ne pas mettre à nu la grandeur des malversations des fonds que se livre ce pouvoir, ensevelies sous les draps de la municipalisation accélérée aujourd'hui et les plans quinquennaux; ce sont les mêmes méthodes, la même gouvernance comme hier, qui continue à ruiner l'Afrique et pérenniser la misère des peuples Africains.

A suivre